Il est facile d’ouvrir un flacon de produit chimique pour détruire les soi disant mauvaises herbes, pour tuer quelques bestioles qui trainent dans le jardin ou même pour donner une bonne dose d’engrais aux plantes mais ce n’est ni écologique ni bon pour la planète. Le permaculteur fait en sorte de planter d’autres petites plantes pour éviter la pousse de la mauvaise herbe. Il va introduire quelques petits animaux pour s’occuper des petits, ces animaux lui donneront en retour des fientes et autres excréments dont la terre va se nourrir en guise d’engrais. Ce sont des principes à la fois simple mais oublié en partie qui permettent à la permaculture en France de prendre place dans une société qui a besoin de retrouver ses sources, qui a besoin d’un retour à l’essentiel.